• Maigrir…Le verdict du médecin est implacable. «Vous devez perdre au minimum 75 livres le plus rapidement possible.

    Le gars entre chez lui, totalement démoralisé. Il a essayé toutes les méthodes sans résultats sérieux. Oui, oui, on maigrit au début mais tout est à recommencer. Ça ne marche pas.

    Puis, il se souvient d’Henri, un collègue du bureau qui lui a confié avoir suivi un régime extraordinaire il y a quelques mois.

     

    Il fait venir les dépliants de l’entreprise.

     

    NOTRE SERVICE EST TOTALEMENT GARANTI peut-on lire dans la brochure qui propose différents programmes :

    A – 3 jours 10 livres

    B – 5 jours 15 livres

    C – 7 jours 20 livres.

     

    Prudent, notre homme choisit le plan A.

     

    Les programmes sont très chers mais il se dit qu’ils sont garantis…

     

    Il téléphone et commande le Plan A.

    – Bien lui dit la téléphoniste. On sera chez vous demain matin.

     

    Le lendemain matin, vers 9h, on sonne à la porte. Il ouvre et découvre une femme au physique remarquable. Elle entre et passe au salon où elle se déshabille en entier ne conservant que ses chaussures de course.

     

    – Voilà, dit-elle, si vous m’attrapez, je suis à vous jusqu’à 15h. On prévoit une heure d’arrêt à midi, chaque jour, et le programme dure trois jours.

     

    Notre homme n’en revenait pas. Ce n’est que le troisième jour qu’il a réussi à l’attraper mais ils ont fait l’amour comme jamais dans sa vie.

     

    Résultat? Il a perdu 11 livres.

     

    Une semaine plus tard, il commande le Plan B.

    – Attention, il est plus difficile dit la téléphoniste, et beaucoup plus cher.

    – Oui, oui mais je suis très heureux et j’achète. Votre programme de garantie totale tient toujours?

    – Oui.

    – Alors, allons-y!

     

    Le lendemain, vers 9h. on sonne à la porte. Cette fois, ce sont deux superbes créatures qui entrent dans le salon. De véritables louves.

    Les règlements sont les mêmes, mais il devra immobiliser les deux femmes.

     

    Ce n’est que le quatrième jour qu’il réussissait à immobiliser les deux femmes. Mais là, la fête fut géante, colossale, immense. Jamais dans toute sa vie, notre homme n’a autant joui. Autant crié. Il a failli en perdre la raison.

     

    Résultats : 15,5 livres de moins sur la balance.

    Pari tenu!

     

    Il consulte son médecin qui le félicite.

    – Bravo! Vous êtes sur la bonne voie mais il faut persévérer.

     

    Notre homme emprunta alors à la banque pour acheter le Plan C,

    qui est encore plus cher…

     

    La téléphoniste prend son numéro de carte de crédit et lui promet

    la plus grande surprise de sa vie.

    – Notre plan C est particulièrement efficace.

    – Oh je suis prêt à tout répond-il en ricanant!

     

    Le lendemain, vers 9h. on sonne à la porte. Cette fois c’est un homme qui se présente. Il passe au salon et se met à poil en 5 secondes ne gardant que ses chaussures de course. Il est membré est musclé comme un taureau.

    – C’est moi qui est le chasseur. Si je vous attrape, je vous prends pendant les 7 jours..!

    – Hein!?# »&*


    6 commentaires
  • Celui qui sait commander trouve toujours ceux qui doivent obéir…

    Friedrich Nietzsche a dit…

    L'amitié naît lorsqu'on a pour l'autre une estime supérieure à celle qu'on a pour soi-même !


    9 commentaires
  • Tout un 4 à 7 !Cette histoire commença lorsqu’un squelette entra dans le bar pour commander :

    – Sers-moi une bière et une moppe…

     

    Pendant ce temps, Ernest et Juju discutaient au bar :

    – Hey, depuis que j’ai l’écran géant dans mon salon, ben… J’ai mal aux yeux, faudrait que je vois un « zieuiste » !

     

    – On dit pas un « zieuiste », on dit un oculiste !

     

    – Ben non, c’est aux yeux que j’ai mal !

    000

    C’est alors que deux autres gars en complet noir, déjà pas mal amochés, firent à leur tour entrée en pleine discussion :

    – On vient d’enterrer le vieux, satané grippe-sous. Tiens, tu parles, il était mathématicien.

    Sur la pierre tombale, la famille on a fait inscrire le texte suivant :

    « Toute sa vie, il a additionné et multiplié, il n’a jamais soustrait.

     

    Aujourd’hui, ses héritiers ont divisé. »

    000

    Barman ! Deux bières, une pleine et une vide mon ami arrête de boire !

     

    Ha!Ha!Ha!Ha!

     

    Tiens, c’est ben un drôle de perroquet que t’as là barman…

     

    – Il est sans pattes.

     

    – Eh ben, qu’est-ce qui est arrivé à ce perroquet ?

     

    – Je suis né comme ça, dit le perroquet.

     

    – Eh, on dirait qu’il a compris ce que je disais et qu’il a répondu.

     

    – Je comprends chaque mot. Je suis terriblement intelligent et très cultivé.

     

    – Ah ouais ? Et bien explique-moi comment tu tiens sur ta perche.

     

    – C’est à dire… c’est un peu embarrassant… comme je n’ai pas de pattes, je me sers de mon petit zizi de perroquet comme d’une sorte de crochet. Tu ne peux pas le voir à cause de mes plumes.

     

    – Wow, dit le gars, alors comme ça, tu peux vraiment comprendre et répondre a ce qu’on te dit ?

     

    – Bien sur. Je parle couramment français et anglais et peux tenir une conversation sur des sujets divers : politique, religion, économie, physique, philosophie… Bien sûr, je suis assez calé en ornithologie.

    Tu devrais m’acheter avec ton héritage et me sortir de ce trou, je serais un compagnon très agréable.

     

    Le barman regarde le gars en rinçant un verre :

    – C’est 5000$.

     

    – C’est un peu cher mais effectivement, tu vaux ton prix.

     

    Alors il rentre chez lui.

     

    Les semaines passent et le petit perroquet est

    fantastique. Il est amusant, intéressant, un bon copain, il comprend tout, sympathise avec les problèmes de son maître et est de bon conseil.

     

    Un jour, le type revient du boulot. Le perroquet, lui râle quelque chose couché en dessous du fauteuil situé près de son perchoir :

    – Psst.

     

    Il approche et le perroquet dit à voix basse :

     

    – Je ne sais pas si je devrais te dire ça mais ta femme et le facteur…

     

    – Quoi, ma femme et le facteur ?

     

    – Chuuut… Eh bien, quand il est passé ce matin, ta femme lui a ouvert, vêtue seulement d’une chemise de nuit quasi transparente, l’a fait entrer et elle l’a embrassé sur la bouche.

     

    – Quoi ? Et puis, qu’ont-ils fait ?

     

    – Il a soulevé sa chemise de nuit et l’a caressée sur tout le corps…

     

    – Hein ? Et puis, qu’a-t-il fait ?

     

    – Il a commencé a lui embrasser les seins, puis le ventre, puis le bas-ventre…

     

    – Quoi ? Et puis ? Qu’a-t-il fait ? Réponds !

     

    – Désolé… Je ne sais pas, j’ai commencé à bander et je me suis cassé la gueule…


    5 commentaires
  • Le difficile n’est pas de monter, mais en montant de rester soi…

    Jules Michelet a dit…

    La femme n’est pas seulement une malade, mais une blessée. Elle subit incessamment l’éternelle blessure de l’amour !


    13 commentaires
  • À la douane...Un douanier en poste à la frontière basque voit passer un type en vélo portant sur sa roue arrière une énorme botte de foin.

     

    – Hep là, arrêtez! dit le douanier. Vous ramenez du foin d’Espagne?

     

    – Oui, c’est ça.

     

    – Vous vous foutez moi? Du foin il y en a autant qu’on veut en France.

    Et il commence à fouiller la botte de foin, en vain.

     

    Le lendemain, il revoit passer le même cycliste, toujours avec une botte de foin.

     

    – Halte! Descendez de vélo, qu’on fouille votre botte de foin!

    Hélas, une fois de plus, le douanier ne trouve rien.

     

    Le surlendemain, même chose. Et encore le jour d’après et ainsi de suite pendant plus d’un an.

     

    Le douanier s’arrache les cheveux, mais il ne trouve toujours rien, au point que, écoeuré, il finit par donner sa démission.

     

    C’est alors qu’il rencontre en ville son cycliste, toujours avec sa botte de foin.

     

    – Écoutez, vous pouvez me le dire, maintenant.

    J’ai démissionné, vous ne risquez rien. Qu’est-ce que vous passiez en fraude, dans ces bottes de foin?

     

     

    – Oh, ce n’était pas ça, répond le cycliste. Ce que je passais en fraude, c’étaient les bicyclettes!

     


    6 commentaires


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique