•  Une jeune femme au bar...Une jeune rebelle très libérée entre dans un bar toute nue, va vers le bar et demande au garçon une bière bien froide.

    Le barman reste là à la regarder sans bouger ;

     

    – Qu’est-ce qu’il y a, vous n’avez jamais vu une femme nue ?

     

    – Oh si, souvent !

     

    – Et alors qu’est-ce que vous regardez ?

     

    – Je voudrais simplement voir d’où vous allez sortir l’argent pour me payer !

     

     

     

    00000

    Euh… 

    Après trois jours et trois nuits de bloc et de garde, le pauvre anesthésiste monte enfin dans l’avion qui le conduit au club Med d’Hammamet. 

    Quelques minutes après le décollage, l’hôtesse passe l’annonce suivante :

    « Un anesthésiste est demandé en première classe ». 

    Trop épuisé pour se sentir utile, il ignore l’appel. 

    Malheureusement, quelques instants plus tard l’hôtesse renouvelle son appel d’une voix angoissée. N’écoutant que sa conscience professionnelle, il se présente à l’hôtesse qui le conduit en première classe devant un fauteuil où un homme d’une bonne cinquantaine d’années lit tranquillement son journal. 

    L’anesthésiste se penche vers lui et lui dit :

    – Vous avez un problème monsieur ? 

    L’homme le regarde et lui demande :

    – Êtes-vous anesthésiste ? 

    – Oui, que puis-je pour vous ? 

    – Bonjour, je suis chirurgien. Pourriez-vous me régler la lumière ?


    5 commentaires
  • Le jeu, c'est tout ce qu'on fait sans y être obligé… 

    Mark Twain a dit…

    On ne se débarrasse pas d’une habitude en la flanquant par la fenêtre ; il faut lui faire descendre l’escalier marche par marche !


    13 commentaires
  • Les vieux...Deux hommes d’affaires en train de rénover le nouveau magasin qu’ils viennent d’acquérir sont assis pour prendre leur pause café.

     

    Tout est désert à l’intérieur, il n’y a que quelques tablettes d’installées sans aucune marchandise 

     

    Ernest dit à Julien, je te gage que d’ici quelques minutes une personne âgée va mettre son nez dans la vitrine et va demander ce que l’on vend.

     

    Il n’avait pas aussitôt fini sa phrase que comme prévu, une personne âgée curieuse met son nez dans la vitrine et demande « Que vendez-vous ici ? »

     

    Julien répondit sarcastiquement « nous vendons des trous du cul »…

     

    Sans perdre de temps le vieillard dit «Ça a l’air de bien aller, il ne vous en reste que deux ! »

     

    Méfiez-vous de nous les retraités ! 


    4 commentaires
  • On peut rire de tout, mais pas avec tout le monde…

    Pierre Desproges a dit…

    Il faut rire de tout. C'est extrêmement important. C'est la seule humaine façon de friser la lucidité sans tomber dedans !


    8 commentaires
  • En attendant la chasse !Un Canadien, grand amateur de chasse, décide un jour d’aller chasser le grizzly dans les montagnes.

    Il arrive dans une petite ville au pied de ces montagnes et, dans un armurerie, achète le fusil « Spécial Grizzly », une arme de très gros calibre. Il part ensuite à la recherche de la bête tant convoitée et, après plusieurs jours de traque, débusque un énorme grizzly.

     

    Il vise et fait feu. Mais rien ne se passe, l’ours est toujours vivant.

    – Dis donc, c’est toi qui m’a tiré dessus comme ça ? dit la bête.

    – Euh… Ben oui… dit le chasseur.

    – Je vais t’apprendre à vouloir me faire la peau !

     

    Sur ce, il s’approche du chasseur, lui arrache son pantalon… et lui fait subir les derniers outrages !

    Dépité, gravement meurtri, le chasseur retourne à l’armurerie de la ville et y achète une mitrailleuse. Il repart alors dans la montagne, retrouve le même grizzly, vise et tire !

    Même résultat : l’ours, intact, s’approche de lui, lui arrache son pantalon et hop, re-sauvagement !

     

    En rage, le chasseur retourne une nouvelle fois à la ville et achète cette fois … un bazooka qu’il trimbale tant bien que mal avec ses béquiles !

    Repartant à la traque, il retrouve la bête et lui décoche un énorme obus !

     

    Aucun résultat !

     

    L’ours s’approche alors de lui et lui dit :

    – Dis donc, tu ne serais pas un peu pédé, des fois ?

     

    Mais vous êtes malade !

    Le directeur de hôpital psychiatrique fait son tour hebdomadaire.

    Soudain, il aperçoit un malade lavant son canari (brosse dure, savonnette, etc).

    – Mais, tu vas le faire mourir ! lui dit-il.

    – Non, non, monsieur, je ferai attention !

    – Tant pis, je t’aurais prévenu !

     

    Un quart d’heure plus tard le directeur repasse et vois son patient pleurer.

    – Sniff, il est mort !

    – Ah, mais ne t’avais-je pas prévenu de ne pas le laver ?

    – Sniff, c’est pas quand je l’ai lavé, c’est quand je l’ai tordu !!!!


    4 commentaires